SOMETHING USEFUL ( İŞE YARAR BİR ŞEY )

de PELIN ESMER

avec  Basak Köklükaya, Öykü Karayel, Yigit Özsener

Turquie, France, Allemagne, 2017 – 1h47 –  VOST

Une poétesse dans la quarantaine et une jeune étudiante infirmière se rencontrent dans un train de nuit et atterrissent dans l’appartement d’un homme paralysé qui veut en finir avec la vie. Le moment est venu d’accomplir quelque chose d’utile.

  • Festival international du film d’Istanbul, 2017, Prix Fipresci
  • Festival international du film d’Adana, 2017, Meilleur scénario, Meilleure actrice, Meilleure cinématographie
  • Festival international du film de Malatya, 2017, Meilleure actrice
  • Festival international du film de Bosphore 2017, Meilleure actrice
  • Festival Du Film Les Nuits Noires De Tallinn, Estonie, 2018, Meilleur scénario

 

BAĞLAR

de BERKE BAS et MELİS BİRDER

Turquie, 2016 – 1h20 – VOST

Alors que les combats entre forces turques et kurdes atteignent des sommets, une jeune équipe de basketball de Diyarbakir vole de succès en succès.

LET THE KID PLAY (BIRAKIN COCUK OYNASIN)

de HACI MEHMET DURANOĞLU et ATALAY TAŞDİKEN

Turquie – 2018 – 1h52 – VOST

Let the Kid Play est un film sur la naissance et l’évolution du cinéma à l’ère ottomane et se concentre sur la diffusion de la technologie cinématographique, développée dans les années 1890 et qui a considérablement transformé l’art du XXe siècle sur l’ensemble du territoire ottoman. On y voit des images de films auxquels, bien que cités dans des sources écrites, les chercheurs n’ont pas souvent la chance d’avoir accès. Cette variété de supports visuels met en lumière de nouveaux documents pour encourager une discussion renouvelée sur la question, et suscite de nouvelles questions sur l’histoire du cinéma pour que les amateurs y réfléchissent.

BIZI HATIRLA (SOUVIENS-TOI DE NOUS)

de CAGAN IRMAK

Turquie, 2018 – 2h00 – VOST

avec Altan Erkekli, Tolga Tekin, Özge Özberk

Kaan fait une brillante carrière tout en prenant soin de sa femme et de ses deux enfants, mais a un peu négligé son père Esref qui vit dans une ville côtière. Cependant, un jour la maladie d’Esref l’oblige à le retrouver et il décide, en raison de sa charge de travail, de l’emmener chez lui, à Istanbul. Esref, extrêmement gentil et bienveillant, se sentant un poids pour sa famille, veut rentrer chez lui. Cette situation va forcer Kaan à réfléchir sur sa vie et à prendre des décisions difficiles.